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Quand la television fait ecran : Digressions autour du FITUC
| المصدر: | بصمات - سلسلة جديدة |
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| الناشر: |
جامعة الحسن الثاني المحمدية - كلية الآداب والعلوم الإنسانية
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| المؤلف الرئيسي: | |
| المجلد/العدد: | ع5 |
| محكمة: | نعم |
| الدولة: | المغرب |
| التاريخ الميلادي: | 2009 |
| الصفحات: | 67 - 76 |
| رقم MD: | 657979 |
| نوع المحتوى: | بحوث ومقالات |
| قواعد المعلومات: | AraBase |
| مواضيع: | |
| رابط المحتوى: |
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| المستخلص: | La scène se passe à Casablanca-la-ville-cosmopolite, en 1989. On ne peut minutieusement reconstituer le lieu de son action. On jouait en costume d’époque. Les personnages sont tous versés dans les lettres et les arts. Sollicités par le ministre de l’enseignement supérieur d’alors qui leur demande d’investir le désert de la faculté en vue de contourner l’action de la rue. Le conseil s’est réuni et le choix a porté sur le théâtre qui, depuis, se satisfait de ce qu’il est sans grande ambition. C’était au temps où commençaient à s’esquisser les signes extérieures du nouveau makhzen, apparaît alors une nouvelle stratégie gestionnaire intronisant “la culture” comme élément susceptible, aux yeux des politiques bien entendu, d’aider à gérer l’effervescence des années 80, du moins dans les grandes villes ( ). Dorénavant, la culture n’est plus considérée comme un “champ miné” à ne pas laisser entre les mains de n’importe qui. Elle continue à être considérée comme un être mineur, à protéger des éventuels “loups” à l’affût ... la culture est sur le point de devenir un instrument. Elle se peut qu’elle soit acteur. De toutes les façons, elle est interpellée pour jouer un rôle. Mais lequel? C’est ce que tente de clarifier la présente communication au travers de l’expérience du FITUC, bien qu’il faille l'étendre de sorte à ce qu’elle embrasse d’autres expressions culturelles et artistiques. |
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